L’UDC entendait déléguer aux garages la possibilité de procéder aux contrôles techniques des automobiles, de manière plus étendue qu’aujourd’hui. La « libéralisation » souhaitée avait pour but de transmettre au secteur privé l’intégralité des contrôles techniques de véhicules motorisés. Heureusement, il est apparu que cette délégation au privé n’intéressait pas les garages de la place. En effet, les contraintes à remplir pour obtenir l’habilitation nécessaire sont importantes et cette activité ne représente pas vraiment une source de revenus intéressante. Cette forme de privatisation de l’Office cantonal des véhicules – déjà refusée par le peuple par le passé – a donc été rapidement écartée.

par Olivier Baud, député EàG,
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